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Anna Volusius

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MessageSujet: Anna Volusius Anna Volusius EmptyMer 3 Sep - 16:59

   
   

   


 
Anna Volusius

 
- Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort -

 
Identité

   

Nom : Volusius
 ✥ Prénom : Anna
 ✥ Street name : //
 ✥ Groupe : Lycan
 ✥ Âge :  32 ans
 ✥ Date de Naissance : 16 février
 ✥ Lieu de Naissance : Dans la campagne, non loin de Paris
 ✥ État Civil : célibataire
Emploi : enseignante
 ✥ Maître/Sire/Tuteur : Aucun (n’a jamais su qui l’avait mordue)
 ✥ Esclave/Infant/Disciple : Aucun
 ✥ Religion : //
 ✥ Lieu de Résidence : à venir  
 ✥ Armes : //
 ✥ Autre : //
 ✥Avatar:  Natalie Portman


   

Caractère

   

Comme tout le monde j’ai des qualités et des défauts. Là aussi, il est délicat d’être totalement objectif envers soi-même mais je vais tout de même tenter de vous dévoiler quelques traits de mon caractère.
On va commencer par mes qualités, du moins ce que je pense être des valeurs à mes yeux.
A l’écoute, abordable, apaisante, attentionnée, diplomate, discrète, empathique, douce, intuitive, patiente, sincère, observatrice et tant d’autres …

Je suis née dans un clan, une colonie plus précisément, qui parcourait les immenses terres sauvages pour échapper à la fois à la folie du Cercle et à cette menace bien trop oppressante de celle de finir comme morceau de viande de choix aux vampires. Des clandestins aux yeux de la société actuelle. Ainsi lorsque vous grandissez dans un petit groupe, vous avez tendance à développer une sorte de protection envers les uns et les autres. Ma mère m’a élevée toute seule avec l’aide des gens de notre colonie. Je n’ai jamais connu les grandes villes que nous pouvions croiser au loin lors de nos déplacements. Par contre, les contrées sauvages étaient mon terrain de jeu sous l’œil vigilant de ma génitrice. Petite fille vive et curieuse, j’observais tout ce qui pouvait se passer autour de moi et encore plus aujourd’hui. J’ai toujours aimé aider mon prochain, les plus âgés de notre colonie. Se déplacer ainsi pour échapper à une sentence terrible, pour chercher des terres sacrées comme le croyaient nos plus anciens était là notre quotidien. Ma mère m’a appris à lire et à écrire, à me débrouiller aussi toute seule et c’est tout simplement que j’ai fait la même chose avec les enfants de notre groupe. Je ne peux pas dire que je suis une enseignante qualifiée mais je me défends bien. Chaque personne a sa place dans un clan comme le mien, et si j’étais destinée à faire apprendre les connaissances aux plus petits et même à certains adultes qui n’avaient pas eu cette chance, j’étais aussi la confidente de beaucoup. A l’écoute et altruiste, j’aidais comme je le pouvais et à ma manière.

Viennent ensuite mes défauts. Une liste très succincte qui reflète tout autant ma personnalité. Vous savez, il y a un très vieux dicton de l’ancien monde qui disait ceci : « Méfiez-vous de l’eau qui dort ». Et bien cela me définit très bien.
Entêtée, bavarde, anxieuse, parfois impulsive suivant les situations, la curiosité peut se révéler un défaut aussi.
Si je peux être discrète, j’ai aussi tendance à m’emporter et à dire ce que je pense lorsque je fais face à une situation que je crois injuste pour protéger une personne ou alors pour démontrer mes arguments. Têtue, je ne cède que lorsque mes arguments ne sont plus valables et je n’ai plus aucune solution valable devant un problème ou un obstacle mais je ne me laisse jamais abattre pour autant.
   
Physique

   

Il est toujours très difficile de se décrire soi-même parce que nous ne sommes jamais véritablement objectifs ou que nous grossissons un trait moins important qu’un autre. Mais après tout, il faut aussi en passer par là. Petite de taille, je mesure à peine 1 mètre 60 au grand dam de ma mère qui aurait voulu que je ressemble beaucoup plus à mon père que je n’ai jamais connu. Il est mort lorsque je n’avais que deux ans, et je n’ai donc aucun souvenir concret à part les histoires de ma mère. Ce que je sais de lui, c’est qu’il était très grand, une carrure athlétique et de grands yeux noisette dont j’ai hérité. Des yeux qui sont le reflet de l’âme car très souvent je n’ai pas besoin de mots pour ressentir les émotions, elles se lisent dans mes prunelles et parfois mon regard me trahit mais je suis ainsi. Ma silhouette frêle est ce que l’on remarque tout de suite chez moi. Déjà que je ne suis pas bien grande, je suis toute menue. On pourrait me croire fragile pourtant méfiez-vous des apparences, elles peuvent être trompeuses dans certains cas. Mon visage fin est encadré par une cascade de mèches de couleur auburn. Des cheveux mi- longs que j’attache très souvent en queue de cheval pour me faciliter le quotidien. Je pense qu’avec cela vous pouvez déjà avoir un aperçu de mon physique.



En savoir plus à mon sujet...

 

Maladies : //
Transformation : Une louve toute noire aux yeux noisette.
Groupe Sanguin : O+
Famille : Il ne me reste que ma mère qui ne connaît pas mon lourd secret.
Origines : Étant jeune, mes origines ne vont pas vous démontrer grand-chose à mon sujet. Ma mère se nomme Marie Lebastier. Elle est née en France et c’est en parcourant les contrées avec sa colonie, qu’elle a croisé le chemin de mon père qui fuyait les vampires. Il se nommait Erik Volusius. Je ne sais rien de plus sur mon père sauf qu’il venait de Roumanie comme me l’a racontée si souvent ma mère, qu’il avait échappé au massacre de son groupe. Même les membres de notre colonie semblaient devenir silencieux lorsque je tentais d’en savoir davantage sur mon père. Pourtant, ils ont toujours été bienveillants envers moi.

   

 


   
Surnom : //
   • Âge : Pffff 36 ans
   • Comment avez vous connu le forum ? : Une proposition, une envie, un partage.
   • Comment trouves tu le forum ? : il va déchirer !!!
   • Code règlement : écrire ici


   
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Invité
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MessageSujet: Re: Anna Volusius Anna Volusius EmptyMer 3 Sep - 17:02

 
 

 

 
 
En chacun de nous sommeille un héros

 
- Il n’y a pas de Lumière sans Ombre -


 

Je suis née il y a 32 ans dans une de ces colonies humaines qui tentaient d’échapper aux lois du Cercle et à l’asservissement des Vampires. Finir comme gibier dans un parc à esclave ce n’était pas la volonté des miens, tout comme de se révolter contre ces Êtres Immortels. Non ! Ceux qui dirigeaient notre clan, nos Anciens, croyaient en des « terres sacrées », loin de toutes créatures du Mal et enfin pouvoir vivre sereinement. J’ai donc été élevée avec cet enseignement : qu’il y avait quelque chose de plus apaisant que cet Enfer dans lequel les Miens vivaient depuis très longtemps. Les campagnes désertes de toutes habitations ainsi que les collines, les champs et les forêts étaient nos terrains de vie. Nous n’étions pas considérés comme un danger à éradiquer de la part des Vampires ainsi nous pouvions avoir des moments calmes sans avoir à voyager durant plusieurs jours voire même semaines. Malgré cela, il n’était pas question de laisser s’endormir notre méfiance envers ces monstres.

Vivre ou mourir, c’était aussi l’adage de mon clan. Aucun humain ne se laisserait capturer par les vampires. La mort était en tout point une liberté plus douce que toutes les horreurs que des centaines d’âmes vivaient auprès des vampires et dans ces parcs à viande. La vie, tout au long des voyages incessants et des déplacements, pouvait se montrer rude surtout lorsque l’hiver déployait ses ailes mais pour rien au monde on n’aurait choisi une autre voie que de fuir les Limbes. Entre des tentes et des huttes faites de tissus et de bois, j’ai vécu parmi la nature comme les autres enfants. J’ai eu beaucoup de chance d’avoir une mère instruite qui m’apprit à lire et à écrire. Enfant curieuse, j’étais aussi turbulente qu’espiègle. A cet âge -là je n’avais pas conscience du Mal même si les adultes et nos Anciens nous racontaient des histoires sur ces créatures. J’étais persuadée que jamais ils ne pourraient venir jusqu’à nous, nous retrouver. Naïveté quand tu nous tiens …

En grandissant, je me suis assagie, plus posée tout comme j’étais la première à aider ceux qui en avaient le plus besoin. C’est avec plaisir que j’apprenais la lecture et l’écriture aux plus jeunes et même à des adultes de notre communauté qui n’avaient pas eu cette chance. Enseigner est un bien grand mot mais c’était bien là ma fonction. J’adorais lire et j’aime encore. Nos Sages possédaient avec eux de vieux manuscrits qui contaient l’avènement des Vampires et leurs secrets. Je me plongeais très souvent dans ces récits, intriguée et apeurée par ces Êtres alors que ma mère ne comprenait pas pourquoi j’avais un tel attrait pour ce genre d’histoires. Il existait selon les dires de certains, des « Terres sacrées » qui nous apporteraient enfin la sécurité et la vie tant désirée loin de ces Ombres.  En complément de mon statut d’enseignante au sein de notre clan, j’avais appris auprès d’un vieux médecin, les vertus des plantes que l’on pouvait trouver un peu partout lors de nos voyages. Une vie clandestine à fuir les Vampires, à aider les miens, à survivre, à éviter les grandes villes, à échapper à ce monde funeste. Mais la réalité allait très vite me rattraper …

Ce que je vais vous raconter remonte à quatre mois maintenant.  Je m’étais perdue dans la lecture d’un vieil ouvrage compilant des légendes sur les Vampires  et sur l’existence d’autres créatures aussi terribles qu’eux. Je n’étais qu’au troisième chapitre lorsque je m’étais aperçue que la nuit était tombée. Heureusement que j’avais toujours sur moi  une lampe torche pour éclairer mon chemin. J’aimais m’éloigner un peu du campement et trouver la sérénité pour pouvoir me plonger dans les livres. J’aimais la compagnie des gens tout comme je pouvais avoir cette envie subite de m’éloigner et de trouver une certaine forme de solitude. Le ciel était d’un bleu envoûtant et la lune, pleine et ronde, trônait fièrement au-dessus de ma tête. J’accélérai mes pas car je savais que ma mère allait se faire du souci pour moi. Mais cette nuit-là tout allait basculer pour moi. La peur me prit au ventre en entendant des bruits dans mon dos, le bruissement de feuillages et le craquement de bouts de bois écrasés sous le poids des pas. Quelqu’un m’observait mais le faisceau de ma lampe ne m’indiquait rien. Et puis plus rien … que mon cri qui fendit le silence de la nuit, le désespoir terrible que ma vie m’échappait, la douleur puissante  à mon épaule, cette fourrure sous mes doigts alors que je tentais de me débattre, un grognement horrible de bête dont je pouvais sentir le souffle au creux de ma gorge… Le froid … Engourdie, j’étais à terre, adossée à un arbre, à bout de souffle. Instinctivement, je portais ma main à ma blessure. Une main emplie de sang.  Ce n’était pas un vampire mais j’étais incapable de savoir ce qui m’avait attaquée. Le sommeil devenait traître mais je ne pouvais pas rester là au milieu de la forêt. Je n’étais pas certaine que ce … ce quelque chose  ne revienne pas pour en finir avec moi. Tremblante, je m’aidais de l’arbre pour me redresser. Mes jambes ne me portaient plus pourtant  je devais avancer. Je récupérais tant bien que mal ma besace mais ma lampe avait été détruite. De là où je me trouvais, je ne voyais pas les feux du campement … Alors je me servis des étoiles pour me diriger trouvant un refuge inattendu derrière des buissons. J’avais mal. La douleur ne cessait de me lancer. Avec ma gourde d’eau et un bout de tissu de ma cape, j’avais nettoyée la plaie pour éviter qu’elle ne s’infecte. Mais mon épuisement avait eu gain de cause et je m’étais endormie, incapable de résister et de lutter.

Le petit chant d’un oiseau me réveilla en sursaut au petit matin. Les premiers rayons du soleil s’étaient enfin imposés dans les cieux et moi je me redressais lentement sur mes coudes.  Ma blessure avait arrêté de saigner mais j’avais tout de même encore mal. L’élancement était bien présent quand je bougeais un peu trop. Le matin avait apporté avec lui la clarté du territoire et je reconnaissais le chemin pour rentrer au campement. Or, je n’étais pas certaine que d’y retourner soit la meilleure des solutions possibles. Je devais avant tout me soigner. Allez dans la ville la plus proche, c’était impossible sans me faire prendre.  Je décidais alors de mettre à profit ce que l’on m’avait enseigné concernant les plantes. La sauge, le romarin, et le genièvre étaient classifiés comme des plantes antiseptiques. En écrasant les feuilles pour en faire une petite pâte, j’en avais étalé sur ma morsure et recouvert le tout par un bout de tissu. Peu présentable, ma cape, heureusement, dissimulait mes taches de sang et mes vêtements déchirés. C’est ainsi que je revins dans mon campement au soulagement de tout le monde. Je racontai mon périple, que j’avais perdu le fil du temps plongée dans ma lecture et que j’avais heurté une grosse racine d’un arbre perdant l’équilibre pour me retrouver assommée à terre. Je brûlai mes habits tachés de sang et j’avais pris soin de cacher mon pansement sous des tenues  adéquates. Il ne me restait plus qu’à découvrir quelle créature s’était attaquée à moi. J’avais perdu l’appétit pendant la toute première semaine, et mes nuits étaient envahies de divers cauchemars. Plus je tentais de me souvenir de ce monstre, moins j’arrivais à créer une image dans ma tête comme si mon subconscient me protégeait de cette mauvaise nuit. Les vieux livres m’amenèrent sur la piste des Lycans. Un nom  peu utilisé comme si cette espèce s’était volatilisée après l’avènement du règne des Vampires.   Le seul renseignement valable que je trouvais était que ces hommes et ces femmes se transformaient en énorme loup le soir de pleine lune, qu’ils pouvaient se nourrir de chair humaine ou bien d ‘animaux. Que lorsqu’un lycan mordait un humain en le laissant en vie, celui-ci devenait automatiquement l’un des leur. Je refermai le livre brutalement et une rage sans nom s’insinua en moi ! Une bête ! J’allais devenir une bête alors que les Miens croyaient en des jours meilleurs et des terres sacrées. J’étais un sacrilège, la profanation même des croyances de mon clan. Je ne pouvais rester parmi eux car j’étais aussi devenue un danger. Je décidai de fuir le campement peu avant la prochaine pleine lune. Je devais m’éloigner de toutes formes humaines. La peur au ventre et les sanglots au creux de ma gorge, j’avais embrassé ma mère dans son sommeil pour lui dire adieu. Et je pris les petits chemins des collines. Les quelques vivres que j’avais réunis ne m’aideraient pas à tenir plus de quelques jours.

Ma première transformation fut à la fois atroce et sans souvenir. Lorsque mes prunelles croisèrent la lune ronde, tout mon corps se mit à trembler, des spasmes violents se répandirent dans mes chairs avant de me transformer en une louve. Au petit matin, j’avais le goût du sang dans la bouche, plusieurs carcasses d’animaux autour de moi. J’en avais la nausée de voir tout ce spectacle insupportable. J’espérai ne pas avoir attaqué d’humains car je n’avais aucun souvenir de ma nuit.

Ainsi commençait pour moi une autre page de ma vie. Je me rapprochais des villes, discrètement, évitant les vampires dont je reconnais les odeurs sans savoir pourquoi. J’ai vécu ainsi de vols durant quatre mois jusqu’au jour où durant une rixe aux alentours d’un village, des humains se révoltèrent face à des vampires me retrouvant au mauvais endroit au mauvais moment. Les cris perçants et  effrayants des humains retentissaient dans mes oreilles. Ne pas me retourner, m’échapper et  me cacher.  Mais il était trop tard lorsque deux vampires qui ressemblaient plus à des guerriers me barrèrent la route et qu’un troisième s’interposa à ma fuite lorsque je pivotais sur moi-même.

Je me souviens de ces mots …

- On fait quoi d’elle ? dit un premier vampire en me scrutant.

- Attend ! Son odeur est différente … Qui es-tu ? ajouta une seconde créature.

- Une simple humaine.

La gifle sanglante me fit perdre l’équilibre, retenue par les deux autres vampires qui paraissaient presque me craindre, voir même dégoûtés de me toucher.

- Qui es-tu ?! Je ne renouvellerai pas ma question une troisième fois ?

- Navrée mais vous allez devoir vous contenter de cela : je suis une humaine.

- Très bien, tu te conduiras d’une toute autre façon devant notre chef. Amenez-la !

- Quoi ? Votre chef ?! Non ! Non ! Non !

Un campement se dressait à l’orée de la forêt. Une immense tente se démarquait des autres et tous ces yeux qui me détaillaient. Certains grognaient, d'autres se reculaient à mon passage. Il n’y avait personne à l’intérieur lorsqu’on m’y jeta. Une entrée gardée par deux colosses. Des odeurs particulières me provenaient et étrangement une s'en détacha au moment où les pans de la tente s'ouvrirent...


 
MADE BY .ANGELUS

 

 
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Le Narrateur
Messages : 366
Date d'inscription : 06/08/2014
Le Narrateur
MessageSujet: Re: Anna Volusius Anna Volusius EmptyJeu 30 Oct - 19:08





ienvenue sur nos terres obscures où chaque recoin regorge de mystères et de dangers.

u as hâte de croquer quelques pauvres victimes ou bien de combattre les créatures de l’Ombre ? Avant cela, nous te demanderons de bien remplir ton profil, d’ouvrir une fiche de liens ICI et une fiche de sujets ICI pour ton personnage. Nous t’invitons aussi à faire toutes les demandes dont tu auras besoin pour ton jeu. Le Staff reste à ton écoute.

u as lu la Loi des Chroniques en arrivant et tu connais donc son contenu. Merci, pour le respect de tous, de t'y conformer en tout point lorsque tu partages notre terrain de jeu.

e flood, les jeux et la chatbox t’attendent pour faire connaissance avec notre communauté.

ous te souhaitons un très bon jeu parmi nous et au plaisir de croiser ta plume !



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Anna Volusius

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